Maël et Gabriel double Rp

Les « Incarnés ».. N’importe quel être pourrait être, en théorie, un incarné. Pour être un incarné il faut que la nature d’une chose décide de fusionner avec un vivant. Modifiant ainsi jusqu’à la structure même de ce vivant. Qu’il est été un homme et il est très possible qu’il n’est plus rien en commun avec un humain. Mais il arrive que le hasard fasse bien les choses, même si souvent le beau soleil d’aujourd’hui s'accompagne de l’orage de demain.

Il y à de cela dix-neuf ans, naissait un enfant dont le destin serais considéré comme maudit par les Dieux. Le soir de la naissance, alors que le père était aux cotés de sa femmes, le ciel se couvrit de nuages et le tonnerre retentit. Quelqu’un frappa à la porte, le père se leva pour aller ouvrir mais avant même qu’il n’aie pu faire un mouvement celle-ci vola en éclat et un personnage sombre s’avança.

-Il est enfin né…
Le père tenta vainement de l’arrêter alors qu’il s’approchait de sa femme et de leur enfant.
~Mais!! que voulez vous?!

L’étranger fixait l’enfant et ne semblait pas avoir remarqué le père.
-Je l’ai si longtemps attendu!..
Il continua sa lente démarche en tendant les mains vers se petit que sa mère essayait de cacher.
-Viens, viens à moi, tu m’appartiens!

Au moment même ou celui-ci toucha l’enfant son corps disparut et un léger souffle s’enfuit : -Enfin!…

Les yeux du bébé s’allumèrent d’un éclat rouge vif et une marque apparut sur sa main.
Après cette incident Ils décidèrent de l’appeler Maël et de ne raconter à personne ce qui c’était passé ce soir là. Mais comme tous secret, il ne tarda pas à se faire connaître dans les sphères célestes et, un an plus tard, un phénomène semblable se produisit lors de la naissance de leur deuxième enfant…Gabriel

******************

Minuit approchait, cela faisait déjà deux heures que le petit Gabriel était né et les parents se réjouissaient qu’il n’y ait pas eut de problèmes. Un moment de silence survint et une douce lumière filtra au travers de l’entrer.

–Gabriel…

Tel était le murmure qui coulait sous la porte.
Quelqu’un cogna; le père, après un instant d’hésitation, se décida à aller ouvrir.
La porte s’ouvrit sur un être lumineux, brillant et dont l’imposance rassurait le cœur.

~Qui êtes-vous? Laissa finalement tomber le père
-Ne vous inquiéter pas je ne viens pas faire de mal au petit et puis… je ne serai pas long.
Maël était coucher et dormait à poing fermé, il se retourna dans son sommeil alors que ce qui semblait être un ange le regardait. Il se retourna et s’avança vers Gabriel. Le père s’interposa :
~Que lui voulez-vous?
-Lui donner un nouvelle vie.

Le père se tassa, bien qu’hésitant, et laissat l’être s’approcher du nouveau-né.
Il toucha l’enfant et, alors qu’il disparaissait :
-Je te souhaite bonne chance petit bonhomme…


Une lumière bleuté enveloppa l’enfant puis disparut.

Il courait vers la maison en flamme.
-« Papa! Maman! »

Cela faisait au moins une heure qu’il était dans le bois quand la fumé avait obscurci le ciel. Tel une couche d’encre, les nuages avait commencé à s’amasser en direction de sa demeure. C’est quand il avait vue ces arcs violet traverser le ciel qu’il s’était inquiéter et avait décider de rentrer. Sa maison brûlait, n’ayant aucune réponse il décida d’entrer.
-« Où êtes-vous !? »

La première chose qu’il remarqua fut cette odeur, une odeur de sang, c’est à ce moment qu’il vit sur quoi il marchait : le sol était recouvert de sang et, relevant la tête il vit aussi que les murs avait quelques éclats sanglant. Jusqu’à maintenant il n’avait pas remarqué cette brume sombre qui coulait entre les pièces. Il couru jusque dans le salon pour voir ses parents par terre. Sa mère était pleine d'hémoglobine et ne respirait plus et son père, son père avait les jambes ouvertes jusqu’au ventre et ses yeux étaient révulsés.
-« P… pourquoi? Que c’est.. que c’est-il passé? »

Soupira-t-il tremblant, les larmes au yeux. Il sentait son cœur crier si fort, c’était comme des tambours puissant. Du fin fond de son être, il hurla :
-«POURQUOI!!!!! »
-« Voyons, pourquoi cri-tu tant que ça? »

Il se retourna pour voir une forme sombre dans l’entrer, elle lui semblait familière. Il n’arrivait pas à discerner ses traits, il ne voyait que ténèbres et cette voix, cette voix si sombre et rempli de haine, de colère.
-« Qu… qu’avez vous fait? »

Il senti une main puissante le maintenir au mur, à un pied du sol. Des lèvres s’approchèrent de son oreille pour lui susurrer :
-« J’ai tuer…tes parent, ta famille, tous ceux que tu
aimait, mais toi, toi je vais te laisser vivre pour que tu ressente la mort
jusqu’au tréfonds de ton âme. »

Il s’entendis pleurer alors qu’il laissait retomber au sol
-« Pour… pourquoi?… »

L’ombre lâcha, avant de partir :
-« Parce que je déteste la vie »

Gabriel avait alors huit ans lorsque cela s’étais passé et il s’en souvient encore, il s’en souviendrait toujours, mais pour l’heure il ne faisait que se rappeler, comme souvent lorsqu’il s’endort, ce qui était arrivé et combien il s’était senti impuissant. À l’extérieur de son rêve, d’étrange phénomène se produisent… Il pleuvait depuis le souper et Gabriel était aller se coucher plus tôt puisque le lendemain il allait avoir dix-huit ans. Le même rêve le tourmentait depuis bientôt dix ans et à chaque fois il se produisait quelques chose à l’extérieur de son rêve… comme si son rêve avait quelque lien avec la réalité présente : Une lumière vive venait de la chambre de Gabriel, elle filtrait d’en dessous de la porte.

Dans le ciel, les nuages se déchirèrent et une lumière bleu en descendis avec force, ébranlant les fondations du château dans lequel il dormait, vivait. Une dizaine de personne se réveillèrent et coururent vers la chambre de Gabriel. Un être de haute stature se dirigea vers sa chambre et demanda aux curieux d’aller voir ailleurs.
-« Il fait encore se rêve, s’en remettra-t-il
jamais? » soupira-t-il.

Il ouvrit la porte pour ne voir que du bleu. Le château trembla de nouveau. Un nouvel éclair de lumière fit vibrer la chambre.
-« Merde… il se transforme, s’est très mauvais!! »

Il courut jusqu’à Gabriel et le pris dans ses bras
-« Chhhh… tout doux, calme toi se n’est qu’un
cauchemar. »

Cet homme était celui qui avait pris soin de lui depuis la mort de sa famille.Gabriel se réveilla et l’étincelle bleuté dans ses yeux s’éteignit.
-« En…encore et toujours se rêve… »
-« Ça va aller? »
-« Oui, oui ça va aller »
-« C’est bien alors, essai de dormir un peu maintenant,
il n’est que minuit. »

Il sortit et poussant tout les curieux plus loin.

(HRP: le rp de Gabriel est fini... ne rete plus que celui de Maël)

Accoté sur un arbre, Maël pense au passé et se rappelle son premier vrai réveil, la journée où il avait enfin révélé sa véritable nature.
-« un si beau moment en vérité. » pense-t-il, cet
éclat rougeoyant repassant dans ses yeux…

Cela faisait déjà huit ans que son petit frère était né. Il n’a jamais aimé l’idée d’avoir un frère, il aurait préféré être seul et enfant unique. Non en fait, il aurait aimé être seul tout court et ne pas avoir de parents. Ce qu’il peut détester l’église! Eux et toutes leur règles et surtout leur Dieu qui est sensé être bon, droit et juste… s’il l’avait vraiment été il n’aurait pas permit qu’il naisse, il n’aurait pas permit toute cette haine dans son cœur.

Il arrive quatre heure et le soleil commence légèrement à descendre, son frère est allé dans le bois, il ne devrait pas revenir avant un certain temps. Maël monte les marche et entre dans la maison.
-« Maman? »
-« Oui. »
-« Je me demandais pourquoi Gab est toujours de si
bonne humeur. »
-« Il est comme ça, pourquoi tu me demande ça? »
-« Bah pour rien c’est juste que j’arrive pas à être
heureux, voir des gens heureux me rends malheureux et malade »
-« Voyons, ne dis pas ça c’est méchant, tu sauras le
moment venu ce qui te rendrais heureux. Alors attends, ça viendra. »

Le père entre un sac sur le dos.
-« Hé! Maël vient on va aller en ville j’ai des trucs à
aller chercher »
-« Papa! Tu sais bien que je déteste aller en
ville. »
-« Je sais mais j’ai besoin d’aide et ton frère n’est
pas la. »
-« Tu peux bien te débrouiller tout seul! »

Le père, surpris par la manière dont son fils lui parle,
lâche son sac.
-« Tu va me parler sur un autre ton! »
-« Sinon quoi… »

La tension est palpable et une aura noir commence à couvrir
le ciel. Sur un ton très différent Maël répète sa question :
-« Sinon quoi…? »
-« Sinon je vais devoir te punir… c’est très mal de
parler à ses parent et leur manquer de respect comme tu le fait. »
-« MAL!? Tu dis ça à cause de lui, c’est ça?!! »
dit-il en pointant le ciel.

C’est à ce moment qu’un éclair violet déchira le ciel, traversa le toit et frappa Maël. Il y eu un instant de silence ou le père ne dit plus rien et la mère trembla. Puis un, deux et trois autre éclair le frappèrent alors qu’il criait toute sa colère envers l’humanité, envers la vie et envers Dieu. On aurait dit qu’il avait grandit et, dans ses yeux, une lueur sombre l’animait. Il se tourna vers son père et le regarda dans les yeux.
-« Plus jamais tu ne me demandera quoi que se
soit .»

Le père allait s’enfuir lorsque ses jambes l’abandonnèrent, il tomba sur le ventre et senti qu’on le
tirait en arrière. Maël déchira l’une de jambe jusqu’au ventre et tira le père jusqu’au salon avec l’autre. La mère tenta de l’arrêter, Maël la pris au coup et lui fit éclater les jugulaires, souriant en voyant la couleur du sang de sa mère. Il devint encore plus sombre et dis :
-« Maman, je sais comment être heureux maintenant…»

Et les murs s’enflamèrent.

Oui, il se rappelait chaque détails, chaque odeurs, ça avait vraiment été la meilleure journée de sa vie. Il se mit à marcher en direction de cette petite ville. Un orage s’annonçait et les nuage s’amoncelait déjà au dessus de la ville. C’est ville se situe à l’Est de la cité Principale. Alors que la pluie commençait à tomber, il cogna à une auberge.

Un homme au chaleureux sourire lui ouvrit sans même se douter de la terreur qui suivrait cette même nuit…

La mort est en ville se soir

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